Le Djihad

Et çà continue....Les émissions d'affaires publiques n'arrêtent pas de nous haranguer avec le sujet. Le djihad ou niqab, peu importe son épellation, on sait ce que çà veut dire: les femmes voilées lors de leur assermentation à la citoyenneté Canadienne. Çà me contrarie que l'on étire le sujet si longtemps.
Pourtant c'est simple, la réponse au port du djihad à l'assermentation est non...point à la ligne. Le visage doit se découvrir.

Le gouvernement conservateur a tort de ne pas régler le problème illico.

Pensons-y, la femme en question n'est pas citoyenne canadienne qu'elle cherche déjà à imposer ses quatre volontés , mais pour qui se prend t'elle cet énergumène là?   C'est t'y possible qu'une seule femme puisse tenir le pays en halène si longtemps, et que notre gouvernement ne fait pas grand chose.

La majorité de nos concitoyens sont contre le port de ce masque, c'est certain.  J'en vois une qui se promène dans le coin,  alentour du Super C, et çà me dérange de la voir masquée. Sûrement que c'est elle qui est dérangée, pas moi . Ce qu'il faut être effronté pour se pavaner devant le monde attriqué comme çà.
Et dire que ces immigrées coûtent $29640.00 par année  aux payeurs de taxes canadiens. La pension de vieillesse est de $12144.00 par année. Quoi dire de plus. On peut être pour l'immigration, mais à nos conditions .

J'arrête de me plaindre, dans le fond, on parle d'une seule femme, c'est une question de principe. Chez nous, c'est nous qui menons, c'est nous qui faisons la loi, pas une immigré comme elle. QED

Dimanche le 20 septembre

Gros changement dans la  météo  ce matin, c'est frisquet en titi  , 12 degrés seulement, et les prévisions pour le reste de la journée sont un max de 20d.  Situation un peu contrariante parce que je vais devoir commencer à penser à enlever mes shorts , et me gréer de grands pantalons, sinon le poil des jambes va se lamenter.

J'ai croisé un  vieil anglo au cours de ma marche tantôt. Tout surpris , il me fixait d'un air incrédule comme si je sortais d'une autre planète........pour me dire :

¨:Aren't you cold with your shorts, me I wore them all summer, but this morning I wear my jeans.¨ Il avait l'air tout découragé  pour moi. Dans sa tête je gelais , pourtant  je ne  sentais pas le froid tant que çà . Lui devait être un vieux frileux. Enfin, passons. C'est un incident mineure de ma journée.

Nous sommes allés souper au restaurant avec Louise. Comme d'habitude, en arrivant chez elle, elle a dit bonjour à Jacqueline, mais moi, pas le moindre petit regard. J'avais gagé avec Jacqueline auparavant que çà se passerait comme çà. La même scène s'est reproduite quand nous sommes partis. Bonsoir à Jacqueline, et......mutt rien pour moi , pas un petit signe, rien.  Son comportement ne m'offusque pas parce que çà fait 60 ans que çà se passe de même. Ce n'est pas un geste de méchanceté de sa part...elle est comme çà. Un bon souper , j'ai calé un fish & chips.

J'ai pu comprendre qu'elle s'est invitée pour venir passer une fin de semaine avec nous. Je ne sais pas le diable où elle va coucher et va devoir manger des mets préparés de chez Cosco parce que çà ne me tente pas pantoute de préparer des mets maisons. Elle est quand même toujours la bienvenue ici. Après tout, elle est la sœur de Jacqueline et la tante de mes gars. QED

19 septembre

Danielle Galipeau a téléphoné hier pour m'aviser du décès de Pierre Des ruisseaux. L'âge et la maladie l'ont rattrapé. Je garde un bon souvenir de celui-ci et je me dois de mentionner que Denise, son épouse s'est beaucoup occupé de lui, tant dans son travail de chiropraticien, que partenaire de vie. Je connais Denise depuis  une soixantaine d'années. Nous fréquentions l'école Saint Jean Baptiste de Lasalle, elle l'école des filles, et moi celle des garçons. Elle a même habité chez nous sur la rue Jeanne d'Arc après son mariage avec mon frère Guy. Ils se séparèrent après quelques années, et elle maria Pierre plus tard.

Les Boileau sont partis pour une croisière sur le fleuve jusqu'aux Iles de la Madeleine. J'ai trouvé çà cute qu'elle nous appelle du bateau pour nous saluer et dire au revoir. Ils seront de retour dans une semaine.

Je suis de retour du party de Christiane. J'y ai rencontré des vieilles connaissances, des gens que je n'avais pas vu depuis  belle lurette. , mais étant tassés comme des sardines dans notre  raccoin, avec le bruit de tout le monde jasant ensemble, que je n'ai pas eu la chance d'échanger comme du monde.
La pluie nous tombait dessus comme des clous en revenant me forçant à conduire plus prudemment que d'habitude  . We are all safe and sound...et cà c'est ce qui compte.

18 septembre

Ben a reçu un texto de Gab.  Il est rendu à Berlin, mais fatigué .  Je comprends qu'il le soit parce que c'est tout de même un vol d'une douzaine d'heures.

Antoine s'est brûlé une main au travail. Du goudron chaud lui est tombé dessus. J'ai hâte d'en savoir plus, et je ne vais pas quand même téléphoner à Ben tous les heures pour savoir ce qui se passe. Attendre comme çà me contrarie.
On s'en fait pour nos enfants, mais je réalise que l'on s'en fait autant pour nos petits enfants, et je suppose que ce sera la même chose pour nos arrières petits enfants....si jamais on en a.  Praise the lord.
La malchance me tombe dessus de par les temps qui courent. Je me suis cassé une dent d'en avant. Il n'y a rien à faire, il faut l'extraire, et celle d'à côté qui branle un peu,   hum?. J'ai reculé l'extraction jusqu'au premier octobre parce que demain soir on a un gros party. Christiane Rochette célèbre ses 80 ans. La célébration aura lieu au Saint-Hubert BarBQ de la Côte des Neiges. Une trentaine de personnes devraient se présenter.

Pour souper j'ai préparé un pâté à la viande. Jacqueline le critique parce que, selon elle, j'y ai mis trop d'oignons. J'y ai goûté et il est excellent. Si c'était à recommencer, j'en mettrais encore plus. C'est bon des oignons. QED

Mardi le 14 septembre

Ben et Gabriel sont passés nous voir cet après midi avant d'aller conduire Gabriel à Dorval  qui prend un avion pour Berlin. Il va rester chez un chum la bas et visiter l'Allemagne sans itinéraire précis. Quand est-ce qu'il reviendra, on ne sait pas. Je pense qu'il ne le sait pas lui même. Il part sur un trip, à l"aventure.
Plus vieux on oublie trop souvent que nous aussi on a eu nos trips de jeunesse. Mes parents à moi étaient bien inquiets quand je suis parti un été pour être lifeguard sur les plages au Saguenay, et pourtant, pour eux c'était le bout du monde. Je me met dans la peau de Ben, çà ne doit pas être facile de voir son gars partir à l"aventure. Je suis content pour Gabo.

Nous avons souper en bas ce soir et se joindre à tous les locataires et célébrer le 12e anniversaire de la fondation de la résidence Les Verrières du golfe, et comme de bons petits vieux, nous ne sommes pas rentrer tard,  QED

Lundi le 14

Une visite à l'hôpital,  on sait quand on entre , mais jamais quand on en sort. C'est ce qui m'est arrivé ce matin. J'étais là à l'heure convenu . L'infirmière m'a posé toutes les questions d'usage, et c'était fini au bout de 10 minutes, j'étais prêt à partir, mais le médecin est arrivé exactement une heure plus tard pour me poser les mêmes questions et qu'ils me reverront en février. En réalité j'ai attendu une heure pour rien. C'est un peu frustrant, mais il ne faut pas se plaindre.

Le souper est fini et la vaisselle est à faire. Çà ne me tente pas pantoute de me lever et d'aller la faire, mais il faudra bien la faire un jour,,,et le moment est arrivé,,,j'y vais.

Dimanche le 13 septembre

Quoi faire d'autre que de cuisiner un dimanche matin quand une température maussade nous force à s'encabaner . Une grosse chaudronnée de soupe repas. Un plein bol et j'en ai assez pour dîner. J'y met 5 légumes, du bouillon de légumes, de la pâte de tomate, un oignon, du riz, quelques condiments, et des pâtes, et çà se digère bien, pas engraissant pantoute.

Une orage subite nous est tombé du ciel et je m'y suis fait prendre en sortant du Centre d'achat et courant vers mon auto stationnée pas mal loin. On dirait que toute la ville était au centre d'achat .

Je pense que le monde est en train de virer fou avec l'histoire des migrants. On entend parler que de çà. Hier, en Hongrie, un groupe a refusé du manger parce qu'il n'était pas halal.......franchement,.... et nous on est sensés se dévouer pour ces gens là....

Les Milot sont venus jouer aux cartes hier au soir et sont partis à 11h, et pour nous c'est tard, parce que Jacqueline a l'habitude de se coucher à 10h.